Sartre - L'age de Raison

C'est un livre sur la liberté. C'est un livre sur la question "qu'est que c'est la liberté individuel?". C'est un livre qui parle des jeunes qui se sentent vieillir. Le vieillissement et des gents qui se sentent vieillir depuis ces 20 ans et des autres gents qui decouvre, un peu plus tard, que ça vie est lancé.

Mathieu est un type comme moi. 35 ans, quelques voyages, quelques livres, et une jeunesse qu'il sent comme "passé" ou fugitive.
Et maintenant? Ses amis sont jeune (20 ans), mais ils sentent l'angoise de la jeunesse que se coule entre les doigts de ses mains.

En plus, il y a des soucis d'argent et... sa petit amie est enceinte par accident. Un avortment? Et plus des aventures, comme le vieux ami comuniste qui veux Mathieu dans le parti.
La vie qui passe toujour surprenant et pleine des problemés et passions.

Mathieu (et moi?) est quelqun qui a dejá vu et essayé la vie et maintenant se demande: et alors? On se repete pendant quelques annés et meurt?
Il cherche, dans sont existentialisme, une solution, ou peut-être seulement une réponse pour toutes les options qu'il doit prendre: un abortment ou un marriage?
Mais il y a une maîtresse Russe avec 20 ans, elle est inviable...

En arrière-plan... l'existence précède l'essence!
Dans la fabrique de stylos, il y a des stylos prêt:
- l'essence de chaque stylo c'est la idée du designer du stylo, l'essence est le dessin de l'ingénieur.
- quand le stylo est prêt, on peut dire que sa essence précède sa existence (une idée de quelqu'un qu'a été concrétisé)
C'est le plus petit version de l'existentialisme: noutre existence, au contraire du stylo, précède notre essence. Nous ne sommes pas une idée de quelqu'un: nous sommes notre propre ingénieur. C'est l'existentialisme.

Moi, je ne suis pas un existentialiste, je risquerais qu'on na pas d'essence, mais vous n'aimerez pas cette idée...
Je ne suis, j'existe, il n'y a pas d'essence, il n'y a pas des types, chacun de nous est un mutante existentiel, on n'a pas de dessin, de code.

J'utilize Deleuze pour laisser Sartre, qui ma raconté une belle histoire...